Le Réveil Lozère 16 octobre 2019 a 10h00 | Par Aurélie Pasquelin

Carbon Agri, une application du label Bas carbone

En projet depuis plusieurs mois, Carbon Agri a été labellisé Bas carbone le 30 septembre dernier. Deux jours plus tard, plusieurs responsables sont venus présenter la méthode de calcul de la réduction de l’empreinte carbone des élevages, au Sommet de l’élevage.

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Claire Le Grand, de la FNPL, Marie-Thérèse Bonneau, présidente de France Carbon Agri association et Jean-Baptiste Dollé de l’Institut de l’élevage ont présenté, le 2 octobre, la méthode au Sommet de l’élevage.
Claire Le Grand, de la FNPL, Marie-Thérèse Bonneau, présidente de France Carbon Agri association et Jean-Baptiste Dollé de l’Institut de l’élevage ont présenté, le 2 octobre, la méthode au Sommet de l’élevage. - © Aurélie Pasquelin

Créée par l’Institut de l’élevage, les interprofessions lait et viande (Cniel et Interbev) et par la confédération nationale de l’élevage (CNE), Carbon Agri se veut un nouveau moyen de rémunérer les éleveurs pour leurs efforts en matière environnementale en vendant des crédits carbone. Méthode de calcul de la réduction des empreintes carbone des élevages, soit par la réduction des émissions, soit par l’augmentation du stockage, Carbon Agri a été labellisé le 30 septembre dernier.

Une association…
« Le projet et sa labellisation montrent que l’élevage est aussi une solution pour remplir notre feuille de route climatique », déclarait Marie-Thérèse Bonneau, présidente de France Carbon Agri association, le 2 octobre, lors de la présentation de la méthode au Sommet de l’élevage. Cette association, créée il y a six mois par la fédération nationale des producteurs de lait (FNPL), la fédération nationale bovine (FNB), la fédération nationale ovine (FNO) et la fédération nationale des éleveurs de chèvres (FNEC), se présente d’ores et déjà comme « l’interface » entre l’État, les acheteurs et les agriculteurs qui souhaitent s’intégrer à la démarche.

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1530, du 17 octobre 2019, en page 7.

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Les box des négociations sont rouverts alors que moi, producteur de lait et président d’OP [organisation de producteurs, ndlr], je n’ai pas négocié mon prix du lait pour l’année 2024

a déclaré le trésorier de la FNPL (FNSEA) et président de l’OP commerciale UPLV (Union des producteurs de lait des Vosges), Yohann Barbe.