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Caviar d’Aquitaine : l’excellence du savoir-faire français

Troisième producteur mondial, la France devrait bientôt obtenir l’IGP « Caviar d’Aquitaine » pour son caviar. Un label qui vient témoigner d’une excellence dans les pratiques d’élevage et de transformation.

© Pauline Garaude

De 24 tonnes en 2013 à 37 en 2017, et 40 prévues pour 2020, la production de caviar en Aquitaine ne cesse d’augmenter, portée par la croissance continue du nombre d’esturgeons dans les bassins. Une quantité qui ne se fait pas au détriment de la qualité. Bien au contraire ! Comme l’expose d’emblée Laurent Dulau, directeur général du groupe Kaviar, Caviar Sturia, premier éleveur et producteur français avec 18 tonnes par an, et président de l’Association des producteurs de caviar d’Aquitaine fondée en 2013 et qui est à l’origine de la demande d’IGP : « Le consommateur recherche des produits excellents. Nous devons être performants dans nos techniques de production pour limiter les coûts et pour pouvoir proposer des produits rapport qualité-prix très intéressants ». D’autant que face au boom de la production mondiale (de 180 t en 2011 à 263 t aujourd’hui) et de l’offre qui en découle sur nos marchés, la France veut se différencier et s’imposer par sa qualité. Laquelle passe d’abord par les techniques d’élevage écrites noir sur blanc dans le cahier des charges de l’Association des producteurs d’Aquitaine et de la future IGP.De 24 tonnes en 2013 à 37 en 2017, et 40 prévues pour 2020, la production de caviar en Aquitaine ne cesse d’augmenter, portée par la croissance continue du nombre d’esturgeons dans les bassins. Une quantité qui ne se fait pas au détriment de la qualité. Bien au contraire ! Comme l’expose d’emblée Laurent Dulau, directeur général du groupe Kaviar, Caviar Sturia, premier éleveur et producteur français avec 18 tonnes par an, et président de l’Association des producteurs de caviar d’Aquitaine fondée en 2013 et qui est à l’origine de la demande d’IGP : « Le consommateur recherche des produits excellents. Nous devons être performants dans nos techniques de production pour limiter les coûts et pour pouvoir proposer des produits rapport qualité-prix très intéressants ». D’autant que face au boom de la production mondiale (de 180 t en 2011 à 263 t aujourd’hui) et de l’offre qui en découle sur nos marchés, la France veut se différencier et s’imposer par sa qualité. Laquelle passe d’abord par les techniques d’élevage écrites noir sur blanc dans le cahier des charges de l’Association des producteurs d’Aquitaine et de la future IGP.

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1493, du 17 janvier, en page 16.

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