Le Réveil Lozère 10 juillet 2019 a 09h00 | Par Nancy Sagnet

En pleine saison de récolte

Après un printemps froid, la pousse de l’herbe a été tardive. Le point sur les récoltes de première coupe sur les différentes régions naturelles de Lozère.

Abonnez-vous Reagir Imprimer
Globalement sur le département, les premières récoltes sont moins importantes que l’année dernière.
Globalement sur le département, les premières récoltes sont moins importantes que l’année dernière. - © Aurélie Pasquelin

Depuis la moitié du mois de mai, les exploitants agricoles du département ont commencé à récolter leurs fourrages. Ensilage, enrubannage, foin… différents modes de conservation sont utilisés. Plus précoce dans la vallée du Lot, la récolte de la première coupe est inférieure à l’année précédente.

Moins de rendement mais une meilleure qualité
« À surface équivalente, nous avons récolté moins de fourrages que l’année dernière, indique Patrick Favier, éleveur de bovins lait sur la commune de Barjac dans la vallée du Lot. Cela représente environ une centaine de bottes d’enrubannage en moins. Cependant, la qualité du fourrage est exceptionnelle. 2019 est une année tardive par rapport à 2018. Nous avions alors terminé la première coupe trois semaines plus tôt. Dans la foulée, nous avions débuté la seconde coupe. Cette année, nous allons commencer la seconde dans les prochains jours, soit dans les premiers jours de juillet. »

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1518, du 11 juillet 2019, en page 5.

Réagissez à cet article

Attention, vous devez être connecté en tant que
membre du site pour saisir un commentaire.

Connectez-vous Créez un compte ou

Les opinions emises par les internautes n'engagent que leurs auteurs. Le Réveil Lozère se reserve le droit de suspendre ou d'interrompre la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers ou d'enfreindre les lois et reglements en vigueur, et decline toute responsabilite quant aux opinions emises,

En bref
5 breve(s) � voir toutes
la phrase de la semaine

L’Inao hésite à communiquer sur les Siqo, notamment par peur d’être pris en défaut et sans doute aussi à cause de la difficulté à rendre les fondamentaux lisibles pour le consommateur

souligne le rapport rendu public le 25 septembre par le CGAAER (ministère de l’Agriculture), qui plaide pour « la formalisation et la mise en œuvre d’un plan d’action pour l’adaptation (…) au changement climatique &ra