Aller au contenu principal

L'Apepha milite pour de petites centrales sur des sols artificialisés

Développer de petites centrales solaires au sol sur des surfaces déjà artificialisées : telle est l'orientation de l'Apepha (agriculteurs dans le photovoltaïsme), qui revendique 500 adhérents.

Développer de petites centrales solaires au sol sur des surfaces déjà artificialisées : telle est l'orientation de l'Apepha (agriculteurs dans le photovoltaïsme), qui revendique 500 adhérents.
Développer de petites centrales solaires au sol sur des surfaces déjà artificialisées : telle est l'orientation de l'Apepha (agriculteurs dans le photovoltaïsme), qui revendique 500 adhérents.
© Emmanuel Baratte

Avant l'examen le 20 octobre au Sénat d'une proposition de loi en faveur du développement de l'agrivoltaïsme, l'association était à la manoeuvre. L'Apepha a écrit aux parlementaires, à la DG Énergie Climat (ministère de la Transition écologique), pour défendre l'agrivoltaïsme basé sur de petites centrales au sol. Il y a « un potentiel important (18 000 à 20 000 ha) » de 15 à 25 GWc, « sans empiéter sur les terres agricoles », explique le courrier, partant sur la base de 380 000 exploitations en France et d'une « hypothèse basse » de 500 m² de terres artificialisées disponibles pour chacune. L'association demande que ces petites unités au sol (jusqu'à 500 kWc) accèdent à un tarif guichet identique à celui des centrales sur bâtiment, ombrières de parking et serres agricoles, soit 11,07 cts/kWh.
Une autre proposition consiste à autoriser « des centrales solaires au sol sur des zones « tampon » avec les espaces urbanisés (lotissement...). Ces projets auraient un double intérêt, à savoir la mise en place d'un circuit court de l'électricité (autoconsommation collective ?) et aussi de mettre à disposition des riverains des surfaces potentiellement valorisables en jardins partagés (potager, loisir ou simplement une bande enherbée) ».

Les plus lus

Antoine Cayrol : chevalier... de l'extrême

Il est l'un des neuf seuls alpinistes au monde à avoir atteint les trois pôles : nord, sur, Everest. Un parcours vertigineux…

Julie Rigal, présidente de Bienvenue à la ferme Cantal, devant le point de vente de la Ferme des fourches, installé dans un ancien sécadou
Qui est la nouvelle présidente de Bienvenue à la Ferme du Cantal ?

Une jeune productrice de viande d’aubrac transformée à Junhac, a pris les rênes de l’association départementale de producteurs…

Un taureau salers défile sur le ring des enchères.
Pourquoi les enchères n'ont pas flambé pour la salers ?

Trente-sept jeunes reproducteurs salers, dont trois du rameau laitier, étaient à vendre mercredi à la station d’évaluation du…

Les quatre Ifas cantaliens unis pour attirer les candidats

La formation d’aide-soignant recrute ses futurs étudiants. Deux réunions d’informations en visio sont proposées.
 

De gauche à droite : Anthony Fayolle (SG) et Nicolas Merle (Président).
Un nouveau duo à la tête de la FDSEA de Haute-Loire

Jeudi 3 avril, le nouveau conseil d'administration de la FDSEA de Haute-Loire a élu président, secrétaire général ainsi que…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière