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La coopérative Célia poursuit sur une lancée dynamique

Mardi 16 mai, la coopérative Célia a organisé son assemblée générale pour la section Languedoc, à Antrenas. L'occasion de revenir sur une année 2022 fluctuante mais intéressante, en présence d'Henri Peyrac, le nouveau président de la coopérative.

Mardi 16 mai, la coopérative Célia a organisé son assemblée générale pour la section Languedoc, à Antrenas. L'occasion de revenir sur une année 2022 fluctuante mais intéressante, en présence d'Henri Peyrac, le nouveau président de la coopérative.
Mardi 16 mai, la coopérative Célia a organisé son assemblée générale pour la section Languedoc, à Antrenas. L'occasion de revenir sur une année 2022 fluctuante mais intéressante, en présence d'Henri Peyrac, le nouveau président de la coopérative.
© Marion Ghibaudo

« 2022 a été une année de consolidation en termes de volume, on a fait plusieurs années de forte croissance, et là on est toujours à l'équilibre plus, tant en bovins qu'en ovins ; quant à 2023, on souffre sur les bovins, notamment à cause de la fermeture temporaire des marchés algériens (ndlr qui représente près de 30 % des parts de marché à l'export) », a expliqué le directeur général de la coopérative Célia, Hervé Chapelle. Les bonnes années précédentes vont permettre de redistribuer près de 300 000 euros aux adhérents, s'est réjoui le directeur de la coopérative. Quant à 2023, ce n'est qu'un passage à vide temporaire selon le directeur de la coopérative, qui se dit « confiant pour l'automne » et la réouverture possible du marché algérien, très dépendant du contexte politique.
Si la coopérative peut s'enorgueillir de ces bons résultats qui lui permettent d'affronter les crises, « c'est aussi grâce aux choix stratégiques qui ont été fait en conseil d'administration sur des marchés porteurs mais aussi parce qu'on était positionnés pour répondre aux demandes », a souligné le président de la coopérative. En 2015, rappelle Hervé Chapelle, l'export vers l'Algérie équivalait à 0 % du chiffre d'affaires. Désormais, le marché est bien implanté : « le développement des marchés à l'export, c'est d'abord se fixer un cap, s'assurer qu'on va dans cette direction et éviter d'en changer trop vite », résume le directeur de la coopérative, rappelant par ailleurs que les premières retombées sur ce type de marché prennent au minimum cinq ans. « On sait que notre stratégie bassin méditerranéen est la bonne » même si des soubresauts sont toujours possibles. « On va continuer à travailler sur la complémentarité des outils de production », a confirmé Henri Peyrac.

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