Le Réveil Lozère 27 mai 2020 a 09h00 | Par Marion Ghibaudo

« Le Net’traite a réglé les problèmes de coliformes »

Jean-Luc Boulet est éleveur de brebis depuis 1994. Une tradition familiale qui remonte au grand-père, sur le causse de Sauveterre. En 2018, l’agriculteur a bénéficié du diagnostic Net’traite, ce qui lui a permis de régler des problèmes de mammite récurrents.

Abonnez-vous Reagir Imprimer
Jean-Luc Boulet est éleveur de brebis depuis 1994. Une tradition familiale qui remonte au grand-père, sur le causse de Sauveterre.
Jean-Luc Boulet est éleveur de brebis depuis 1994. Une tradition familiale qui remonte au grand-père, sur le causse de Sauveterre. - © Marion Ghibaudo

Ses 500 brebis, Jean-Luc Boulet en prends soin sur ses 450 hectares. Il destine leur lait à Roquefort. Un partenariat qui remonte aux débuts de Jean-Luc Boulet. « On a aussi travaillé avec Fédou, jusqu’en 2012 », décrit l’agriculteur qui note qu’ils ont déjà eu plus de 800 brebis sur place. En 2012, le Gaec de Sauveterre décide de vendre le troupeau Fédou pour se recentrer sur Roquefort seulement. Élevées en conventionnel, les brebis sont bichonnées pour répondre à un cahier des charges précis et « avoir la meilleure qualité de lait possible », explique Jean-Luc Boulet.

Réagissez à cet article

Attention, vous devez être connecté en tant que
membre du site pour saisir un commentaire.

Connectez-vous Créez un compte ou

Les opinions emises par les internautes n'engagent que leurs auteurs. Le Réveil Lozère se reserve le droit de suspendre ou d'interrompre la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers ou d'enfreindre les lois et reglements en vigueur, et decline toute responsabilite quant aux opinions emises,

En bref
5 breve(s) � voir toutes
la phrase de la semaine

L’Inao hésite à communiquer sur les Siqo, notamment par peur d’être pris en défaut et sans doute aussi à cause de la difficulté à rendre les fondamentaux lisibles pour le consommateur

souligne le rapport rendu public le 25 septembre par le CGAAER (ministère de l’Agriculture), qui plaide pour « la formalisation et la mise en œuvre d’un plan d’action pour l’adaptation (…) au changement climatique &ra