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Le premier plan pastoral d’Auvergne signé par le parc des volcans

Le premier plan pastoral territorial d’Auvergne a été signé sur le territoire du Parc Naturel Régional des Volcans d’Auvergne pour soutenir cette activité ancestrale, indispensable à l’économie agricole et la beauté des paysages.

Le premier PPT d’Auvergne a été signé par le Parc Régional des Volcans où l’on dénombre une trentaine d’estives collectives à l’image de celle de Récoleine.
Le premier PPT d’Auvergne a été signé par le Parc Régional des Volcans où l’on dénombre une trentaine d’estives collectives à l’image de celle de Récoleine.
© Mélodie Comte

La Région Aura compte 29 plans pastoraux territoriaux (PPT) mais c’est le premier qui vient d’être signé en Auvergne, sur le territoire du parc naturel régional des volcans d’Auvergne (PNRVA). À la clé : 3,6 millions d’euros entièrement dédiés à l’activité pastorale présente sur le parc, et ce pendant cinq ans. Cette enveloppe, soutenue à la fois par la Région et le fond Feader, sera employée à la réalisation de divers travaux et investissements pour soutenir et développer les estives.

Une victoire collective
Couvrant près d’un quart du territoire du parc, les surfaces pastorales sont des maillons essentiels des élevages de moyenne montagne, tout en profitant à de nombreuses activités de loisirs et de tourisme. Le parc dénombre une trentaine d’estives collectives.
Le plan pastoral territorial signé le 1er juin entre la Région et le PNRVA permet le déploiement d’une stratégie à la fois de sauvegarde et de développement de ces surfaces. « Les plus beaux paysagistes sont nos éleveurs, mais pour les garder, nous devons soutenir leur activité avant tout, économique » a témoigné Lionel Chauvin, président du PNRVA durant cette signature, en présence de Cédric Bonichon, conseiller régional et de Jean-Michel Vigier, président d’Auvergne Estive. L’association a en charge l’animation et le déploiement de ce plan dont les projets seront validés par le parc. Elle estime par ailleurs qu’environ « 75 % du montant des opérations sera porté par du collectif tels que des groupements d’éleveurs, des associations ou des collectivités ».

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