Le Réveil Lozère 20 février 2019 a 16h00 | Par AG

Les États membres demandent toujours plus de dispositions volontaires

Les experts des États membres de l’UE poursuivent leurs travaux sur les propositions de la Commission européenne pour la prochaine Pac.

Abonnez-vous Reagir Imprimer
- © Christian Lambiotte – CE

Leurs discussions le 11 février en Comité spécial agricole (CSA) ont porté sur le nouveau dispositif de paiements directs découpé en plusieurs niveaux (aide au revenu, aide aux jeunes agriculteurs, paiement redistributif et éco-programmes) ainsi que sur leurs critères d’octroi. Et une fois encore, les délégations ont cherché à obtenir toujours plus de souplesses pour appliquer les nouvelles règles.
Sur la définition des « jeunes agriculteurs », la plupart des États membres soutiennent l’approche volontaire proposée par la présidence roumaine du Conseil de l’UE pour permettre à chacun de définir des « critères d’éligibilité objectifs et non discriminatoires », notamment en matière de formation et de compétences – alors que la Commission propose que ces critères soient rendus obligatoires pour bénéficier de la prime aux jeunes agriculteurs.
Même constat sur la définition du « vrai agriculteur » : les délégations souhaitent globalement un dispositif volontaire de cette définition – comme le propose là encore la présidence roumaine.

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1498, du 21 février 2019, en page 8.

Réagissez à cet article

Attention, vous devez être connecté en tant que
membre du site pour saisir un commentaire.

Connectez-vous Créez un compte ou

Les opinions emises par les internautes n'engagent que leurs auteurs. Le Réveil Lozère se reserve le droit de suspendre ou d'interrompre la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers ou d'enfreindre les lois et reglements en vigueur, et decline toute responsabilite quant aux opinions emises,

En bref
5 breve(s) � voir toutes
la phrase de la semaine

Votez favorablement pour le classement de votre commune en Natura 2000 et il n’y aura aucune contrainte

avait dit le ministère de l’agriculture. Dans les années 2010, les conseils municipaux avaient été invités à délibérer sur les zones Natura 2000.