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Les Jardins de Cocagne pour l’insertion des primo-arrivants

Du 11 au 15 octobre a eu lieu la semaine de l’intégration des réfugiés et primo-arrivants. Lancée avec les services de l’État, elle permet de promouvoir les initiatives locales au service de l’intégration des étrangers en France.

Du 11 au 15 octobre a eu lieu la semaine de l’intégration des réfugiés et primo-arrivants. Lancée avec les services de l’État, elle permet de promouvoir les initiatives locales au service de l’intégration des étrangers en France.
Du 11 au 15 octobre a eu lieu la semaine de l’intégration des réfugiés et primo-arrivants. Lancée avec les services de l’État, elle permet de promouvoir les initiatives locales au service de l’intégration des étrangers en France.
© Préfecture de la Lozère

Au Jardin de Cocagne, à Palheret, ce mardi 12 octobre, les équipes sont en effervescence : elles attendent la visite de Thomas Odinot, secrétaire général de la préfecture de Lozère, dans le cadre de la semaine de l’intégration des réfugiés et primo-arrivants. Une semaine où les services de l’État rencontrent les acteurs locaux de l’insertion.
« La visite a été très intéressante », s’est réjouie Laurence Nouveau, directrice de la structure d’insertion qui a pu expliquer les bases de l’organisation au secrétaire général. Tout a été passé en revue : les serres, l’atelier cuisine, l’espace de production, l’atelier fruits rouges, les coins dédiés à l’animation pédagogique avec les écoles… Car le Jardin de Cocagne, installé en Lozère depuis 2013, propose à ceux qui travaillent en son sein un emploi agricole.
« Dans le cadre de cette semaine, le secrétaire général voulait en apprendre plus sur l’accès à l’emploi des primo-arrivants et réfugiés », a détaillé Laurence Nouveau, dont la structure propose un accompagnement aux primo-arrivants pour les intégrer grâce à un emploi en maraîchage, sur un hectare de surface où se côtoient poireaux, salades, haricots, petits fruits rouges et quelques ruches ; une partie de la production se faisant sous serre, la seconde partie en plein champ. L’association accueille actuellement six primo-arrivants, pour un effectif total de 19 personnes travaillant dans ses champs. « De passer par le Jardin de Cocagne, ça leur permet d’avoir des fiches de paie, un salaire, mais pas que », détaille la directrice, « c’est aussi tout ce qui est vivre-ensemble : arriver à l’heure, respect des consignes, etc. Toutes ces choses transposables dans la vie de tout un chacun. ».

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