Le Réveil Lozère 04 octobre 2023 a 12h00 | Par Marion Ghibaudo

« Notre travail consiste à s’adapter et accompagner, sans commander »

Sur la route du lait, on trouve des fermes familiales qui ont le vent en poupe. Celle de Jean-Paul Planchon, Fanny Reboul et Vianney Belin, le Gaec des violettes à Grandrieu, fait partie de celles-là. Vianney Belin et Jean-Paul Planchon s’occupent de l’atelier bovin, tandis que Fanny Reboul, en diversification, a développé des plantes à parfum, aromatiques et médicinales.

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Sur la route du lait, on trouve des fermes familiales qui ont le vent en poupe. Celle de Jean-Paul Planchon, Fanny Reboul et Vianney Belin, le Gaec des violettes à Grandrieu, fait partie de celles-là. Vianney Belin et Jean-Paul Planchon s’occupent de l’atelier bovin, tandis que Fanny Reboul, en diversification, a développé des plantes à parfum, aromatiques et médicinales.
Sur la route du lait, on trouve des fermes familiales qui ont le vent en poupe. Celle de Jean-Paul Planchon, Fanny Reboul et Vianney Belin, le Gaec des violettes à Grandrieu, fait partie de celles-là. Vianney Belin et Jean-Paul Planchon s’occupent de l’atelier bovin, tandis que Fanny Reboul, en diversification, a développé des plantes à parfum, aromatiques et médicinales. - © Marion Ghibaudo

Au contrôle laitier depuis ses débuts, en AT9, la ferme de Jean-Paul Planchon, existant depuis 1993, ne pourrait pas se passer du conseil apporté par leur technicien de la chambre d’agriculture, Quentin Boyer, qui les suit depuis 2017. Avant ça ; ils ont vu passer cinq techniciens différents qui leur ont tous apporté quelque chose, depuis les années 1990. « C’est un besoin et un soutien ; un besoin, car ces échanges sont essentiels pour continuer à faire évoluer la ferme », souligne Vianney Belin, qui a rejoint le Gaec en 2012. Avec leurs 45 laitières dont ils livrent le lait à Sodiaal, depuis 2014, les associés ont atteint un rythme de croisière qui leur convient. « Notre objectif, sur la ferme, est de pérenniser l’activité comme elle est », détaille Vianney Belin. « En tant que technicien, j’essaie de répondre à une finalité, tout en m’adaptant aux agriculteurs et à leurs envies », explique Quentin Boyer. Avec leur suivi mensuel, les associés sont ravis du « travail en confiance qui s’est établi entre nous ». Pour le technicien, toute la difficulté consiste à trouver un équilibre entre les territoires qui ont leurs spécificités, les façons de mener les fermes qui sont propres à chacun, la question économique à toujours prendre en compte et les besoins des agriculteurs.

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Les box des négociations sont rouverts alors que moi, producteur de lait et président d’OP [organisation de producteurs, ndlr], je n’ai pas négocié mon prix du lait pour l’année 2024

a déclaré le trésorier de la FNPL (FNSEA) et président de l’OP commerciale UPLV (Union des producteurs de lait des Vosges), Yohann Barbe.