Le Réveil Lozère 25 novembre 2022 a 08h00 | Par Mélodie Comte

Ovalie, de Saint-Alyre-ès-Montagne, égérie du SIA 2023

Mardi 15 novembre, à très exactement 9 h, le Salon International de l’Agriculture a dévoilé l’affiche de sa prochaine édition qui se tiendra du 25 février au 5 mars 2023.

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Mardi 15 novembre, à très exactement 9 h, le Salon International de l’Agriculture a dévoilé l’affiche de sa prochaine édition qui se tiendra du 25 février au 5 mars 2023.
Mardi 15 novembre, à très exactement 9 h, le Salon International de l’Agriculture a dévoilé l’affiche de sa prochaine édition qui se tiendra du 25 février au 5 mars 2023. - © Pparchet – SIA 23

Une robe acajou sans tache, un museau rosé, des cornes fines et claires en forme de lyre ; l’égérie 2023 est une jeune vache Salers de 5 ans qui répond au doux nom d’Ovalie. Née en 2018, à Saint-Alyre-ès-Montagne, elle est issue de la première génération de vêlage de Marine et Michel Van Simmertier. « Elle porte l’histoire de notre installation » témoigne, émue, l’éleveuse de 34 ans.
Au sein de cet élevage de moyenne montagne, la nouvelle égérie peut compter sur quatre paires de mains pour se parer de ses plus beaux atouts avant de gagner la capitale.
Dans le Gaec Van Simmertier, il n’y a pas deux associés : « on pourrait dire que nous sommes quatre » explique Marine Van Simmertier. Léa et Gabriel, respectivement cinq ans et trois ans, n’ont pas peur de chausser les bottes ! Chez les Van Simmertier, l’élevage se bâtit ensemble, en famille, et Michel Van Simmertier ne cache pas sa fierté : « en cadeau de baptême, ils ont eu une petite vêle Salers à la place du poney ». Dès leur installation en 2018 et la reprise hors-cadre familial de l’exploitation, les jeunes éleveurs ont bâti un projet de vie où chaque membre de la famille est intégré.
La sélection d’Ovalie comme égérie du plus grand évènement agricole national vibre donc du sentiment du devoir accompli, même si l’élevage de la miss de l’année s’accompagne d’un engagement inattendu.

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La proportion de moutons par habitant est tombée à moins de cinq pour un en 2022, pour la première fois depuis 1850, quand les moutons ont été comptés pour la première fois

indique Stats NZ (organisme public néo-zélandais en charge des statistiques) selon des chiffres publiés le 22 mai et cité par l’AFP.