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Quand adaptation rime avec satisfaction

Avec un réseau de 11 740 structures en France métropolitaine les Cuma restent pour plus de 200 000 agriculteurs une solution efficace pour partager les frais de mécanisation mais pas seulement.

Les Cuma participent au développement des circuits courts via la mutualisation d’ateliers de transformation, de moyens de transport et de commercialisation.
Les Cuma participent au développement des circuits courts via la mutualisation d’ateliers de transformation, de moyens de transport et de commercialisation.
© DR

Lieu d’échanges entre agriculteurs, les Cuma sont reconnues pour de nombreuses activités de mécanisation. 87 % d’entre elles ont une activité de récolte et 81 % une activité de travail du sol. Le transport et la manutention (80 %), la fertilisation (73 %) et les semis (65 %) sont aussi des postes particulièrement présents en Cuma. Celles-ci sont de plus en plus nombreuses à s’engager vers d’autres modes de cultures. « D’après les derniers chiffres recensés, en 2017, 2 480 Cuma avaient une activité de désherbage alternatif », indique Manon Bossa, chargée de mission agroéquipement à la FRCuma Aura. Elles sont, par ailleurs, impliquées dans près de 130 GIEE, groupement favorisant l’émergence des dynamiques collectives prenant en compte à la fois des objectifs économiques et des objectifs environnementaux, sur les thématiques sols, gestion de l’azote et autonomie alimentaire. Depuis 2016, les Cuma favorisent l’emploi. Elles sont reconnues comme groupement d’employeurs et mettent donc à disposition de leurs adhérents un ou plusieurs salariés. « Aujourd’hui, quelque 1 615 Cuma portent la casquette d’employeur pour un total de 4 700 salariés », ajoute-t-elle.

 

Article à lire dans le Réveil Lozère n°1551, du 12 mars 2020, en page 16.

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