Le Réveil Lozère 02 juillet 2023 a 12h00 | Par RM

Un nouveau cycle de négociations commerciales pour lever les blocages sur le chapitre agricole

Comme avec la Nouvelle-Zélande, le chapitre agricole est le plus compliqué à négocier dans le cadre des pourparlers commerciaux entre l’UE et l’Australie.

Abonnez-vous Reagir Imprimer
Anthony Albanese, le Premier ministre australien, et Ursula von der Leyen.
Anthony Albanese, le Premier ministre australien, et Ursula von der Leyen. - © EC – Audiovisual Service – Dati Bendo

Alors que les deux parties entament le sprint final, elles ne sont toujours pas arrivées à s’entendre sur l’accès au marché et sur la question des indications géographiques. À cette fin, elles ont convenu de revenir à la table des négociations. Selon Canberra, cette nouvelle session de pourparlers pourrait retarder la conclusion d’un accord de libre-échange, espéré initialement par l’UE au cours de la première quinzaine de juillet.
L’Australie aurait appelé, d’après la presse australienne, à revoir à la hausse l’offre d’accès au marché mise sur la table par l’UE le 24 mai. Bruxelles propose pour l’instant un contingent d’importation de 24 000 tonnes de viande bovine à droits de douane réduits (7,5 %) sur sept ans ainsi que 20 000 t de viande ovine, 8 000 t de lait écrémé en poudre ou encore 5 000 t de beurre, le tout à droits de douane nuls.

Réagissez à cet article

Attention, vous devez être connecté en tant que
membre du site pour saisir un commentaire.

Connectez-vous Créez un compte ou

Les opinions emises par les internautes n'engagent que leurs auteurs. Le Réveil Lozère se reserve le droit de suspendre ou d'interrompre la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers ou d'enfreindre les lois et reglements en vigueur, et decline toute responsabilite quant aux opinions emises,

En bref
5 breve(s) � voir toutes
la phrase de la semaine

L’Inao hésite à communiquer sur les Siqo, notamment par peur d’être pris en défaut et sans doute aussi à cause de la difficulté à rendre les fondamentaux lisibles pour le consommateur

souligne le rapport rendu public le 25 septembre par le CGAAER (ministère de l’Agriculture), qui plaide pour « la formalisation et la mise en œuvre d’un plan d’action pour l’adaptation (…) au changement climatique &ra